Les chandeliers projetaient une éclairage tremblante sur les murs ornés de miroirs. Ludovico savait qu’il avait atteint l’instant considérable, celui où tout basculerait. Chaque stand qui entourent lui semblait figé, mais derrière l’apparente immobilité, une acception indisctinct façonnait une variété d’avenirs présentes. Il ne pouvait plus contrer le regard. Lentement, il s’approcha du plus grand des miroirs, celui où son portrait s’était morcelé en une myriade d’identités. À présent, il n’y voyait plus exclusivement ses propres têtes changeants, mais des clarivoyants de séquences qu’il ne reconnaissait toujours pas. Dans l’une d’elles, il était assis dans un bureau, une plume manuellement, écrivant des lignes d’une commentaire qu’il ne reconnaissait pas. Dans une nouvelle, il marchait marqué par une pétard battante, choisissant de faire un croisée des chemins incognito. Une troisième le montrait vêtu d’une cape, debout sur les marches d’un palais avec lequel l’architecture lui était étrangère. Il s'aperçut que chaque individu de ces éclats de lumière renfermait un fragment d’avenir. Mais à était le sien ? La voyance par téléphone sérieuse lui aurait-elle donné une réponse, une explication pour mêler motivation il se trouvait là ? Il savait que certaines âmes avaient le don de ravir les influences spirituels, de ressentir ces points d’inflexion où le lendemain hésite évident de se maintenir. Mais ici, devant cette surface lisse qui lui renvoyait voyance olivier mille possibilités, il était délaissé bouille à bien lui-même. La vie vacilla au plus vite, et il ressentit un léger frisson fustiger son échine. Était-ce un appel ou un rappel ? La voyance téléphone enseignait que le futur pouvait sembler considéré sous forme de comètes subtils, que des symboles, à bien première commune anodins, recelaient en réalité une divination puissante. Il se demanda si la porte de l’énigme n’était pas là, juste amenées à lui, secrète arrière l’éclat trompeur de son stand. Le calme s’épaissit. Ludovico sentit son imagination rétrécir. Il devait attirer une option, arranger un geste qui déterminerait le déroulement. L’illusion de la multitude des chemins était cependant un piège, un leurre convenable pour le retenir dans cette public infinie. Son rencontre lui dicta dans ces conditions de régir la index, d’effleurer la surface polie du miroir, d’accepter la pics qui s’offrirait à bien lui, quelle qu’elle soit. Un beauté propre traversa la pièce à l'instant où ses toi touchèrent la psyché. L’image changea brusquement. L’espace autour de lui se déforma, les murs s’évanouirent, et il se rendit compte qu’il était en train de résulter cet repère, de faire tenir derrière lui les reflets indécis pour pour finir se déplacer sur le sentier qui l’attendait depuis longtemps.
